La jeune femme se promenait comme toujours en ville. Elle aimait beaucoup ces endroits bien qu’ils soient parfois mal fréquentés. Elle aimait beaucoup y voir les gens s’amuser, elle lorsqu’elle voyait les autres gens, ceux plus pauvres, elle se disait qu’elle voulait beaucoup les aider. Elle espérait pouvoir faire quelque chose, ou alors que ses parents pourront faire quelque chose pour ces pauvres gens. Bon après, il y avait les méchants gens dont Aryess s’occupait souvent. Elle marchait simplement être les rues, le marché, c’était plutôt bondé, elle avait du mal à ne pas se faire bousculer. Elle était petite en plus et on ne la voyait pas trop et même les gens s’en foutaient.

Elle avait même comme idée que si Aryess était là, il aurait sans doute reproche à ceux-là ce qu’ils faisaient de ne pas voir sa maîtresse. Elle se demandait purquoi il la suvait toujours en cachette, depusi cet évènement dans la rue il y a plus d’un an, elle avait parfois peur, elle savait qu’elle pouvait aussi lui demander de rapprocher sa garde, mais elle n’était pas assez ouverte pour lui demander d’un peu plus l’épauler, ça serait rabaissant. Il y avait beaucoup de gens dans les rues, et elle décida de faire une petite folie… Elle voulait passer par une petite ruelle. Elle jeta juste un coup d’œil derrière, pour savoir si Aryess la suivait, elle ne le vit pas, mais elle pensait bien qu’il était là, bien qu’elle ne se sentait pas trop confiante, ne sentait pas beaucoup sa présence.

Ce qui devait arriver arriva. Elle recontra des gens plutôt bizarres. Des voleurs, ou un truc du genre en tout cas, chose qu’elle n’aimait pas. Elle tremblait, elle fit un « lai… laissez-moi ! ». Aryess n’était pas là… mais où était passé son garde du corps préféré ? Voila pourquoi elle le préférait à ses côtés ! Et en plus, elle n’était pas égoïste, elle n’aimait pas le voir seul. D’un coup, elle le vit arriver, et il prenait déjà sa défense, sans s’occuper de savoir qui était le coupable. Elle adorait sa confiance.

« Aryess ! »

Elle lui fit un grand sourire, même s’il ne le voyait pas, il pouvait sûrement la sentir beaucop moins stressée qu’ils n’y a que quelques secondes. Il avait l’air en colère, elle n’aimait pas le voir s’énerver. Il alla la cacher, elle restait entre les deux caisses. Elle remerciait intérieurement son aide. Il était toujours là. Comment avait-elle pu douter du fait qu’il la suivait ? La peur sans doute ?

Quant au gars, il tremblait de tous ses membres, il avait un simple sabre émoussé dans ses mains. Il lui cria soudain « Waaaah ! » Il lui sauta ensuite dessus avec sa faible force et épée. Aétia prit peur pour Aryess.

« Aryess ! Fait attention ! »